Quand le vent prend la forme, c’est-à-dire rencontrer les poussières et devenir la matière, il ne laisse plus d’espace à l’imagination. Pour Bachelard, l’imagination ne tient pas à dessiner des choses figurées au coeur, c’est en effet penser au mouvement du monde, quelque chose qui fait partie de l’ordre cosmique au lieu de l’objet fixé et concrète.